Les producteurs n’utilisant pas la méthode de stabilisation à froid rajoutent de l’eau dans le cas de l’utilisation de la poudre (réhydratation), soit ils obtiennent le jus d’Aloe vera à partir des feuilles broyées et pasteurisés.

 

La consommation excessive de la feuille complète d’Aloe vera peut provoquer des symptômes de toxicité dus à l’aloïne d’où l’importance de consommer uniquement le gel issu du cœur de la feuille.

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En résumé :

 

• La pasteurisation détruit les enzymes et altère les propriétés du gel, quant au procédé de broyage, il faut compter avec la présence de l’aloïne dans le jus obtenu.

• Avec l’extraction et l’enlèvement manuel de l’écorce épaisse le gel est exempt d’aloïne laxative.

• La stabilisation à froid est la seule transformation naturelle qui prenne soin du précieux gel, sans aloïne, tout en préservant ses propriétés.

• A l’heure actuelle l’aloïne est reconnu pour ses propriétés laxatives et le gel pour ses propriétés hydratantes, cicatrisantes et anti prurigineuses

• En usage interne : Préférez un produit désignant obligatoirement en premier ingrédient  l’Aloe vera gel Barbadensis Miller et portant aussi sur son emballage le label IASC : organisme officielle de contrôle pour répondre aux normes optimales de qualité.

Contrôles bien plus stricts que les labels bios européens ou Français. Seules les plantes adultes « Barbendensis Miller » sont cueillies selon des bio- critères stricts : Fertilisation avec le paillage de la propre plante Aloe vera, sans pesticide ou tout autre produit chimique.

• La seule mention Aloe vera (et encore moins Aloès) sur un emballage ne suffit pas pour certifié de la qualité et de l’efficacité du gel.

• Le 99 % ou 100 % Aloe Vera pur peut aussi être une tromperie c’est loin d’être du gel d’Aloe vera à l’état naturel stabilisé à froid !

 

Les fabricants de produits ont l’obligation d’étiqueter la liste complète des ingrédients par ordre décroissant de concentration sur leurs emballages.